La BFB conseille la prudence lors de la manipulation d'installations électriques

L'électricité est toujours considérée comme une cause fréquente d'incendie. Au cours des dix dernières années, environ 3000 incendies par an ont eu pour cause l'électricité. Selon le Centre d'information pour la prévention des incendies (CIPI), ceux-ci ont causé des dommages à hauteur de 75 millions de francs par an.

Installations
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Les défauts des installations électriques ne sont pas toujours visibles immédiatement. Le Centre d'information pour la prévention des incendies (CIPI) met en garde contre le fait qu'il ne faut jamais entreprendre soi-même une réparation. Rien que l'année dernière, les dommages causés aux bâtiments se sont élevés en moyenne à 75 millions de francs par an.

Mise à niveau par interrupteur FI

Les défauts techniques peuvent également faire passer le courant ou surchauffer en dehors des lignes. Des objets peuvent ainsi se retrouver sous tension sans que l'on s'en aperçoive, avec de graves conséquences. Pour éviter les incendies et les accidents, les installations obsolètes devraient être équipées d'un disjoncteur différentiel. Celui-ci interrompt l'alimentation électrique dès qu'un défaut se produit. Si le disjoncteur se déclenche à plusieurs reprises, c'est le signe que quelque chose ne va pas. Il faut alors, selon la BFB, s'adresser à l'installateur électrique.

Attention aux prises multiples et aux appareils trop nombreux

Les immeubles anciens, en particulier, ne disposent pas toujours de suffisamment de prises électriques. Les prises multiples et les multiprises permettent certes d'y remédier. Mais le risque est de brancher trop d'appareils sur une seule prise.

Dans ce cas, la forte sollicitation peut entraîner une surcharge de la fiche multiple ou du bloc multiprise, mais aussi de la prise elle-même. Le fusible se déclenche alors. En cas de charge maximale prolongée, le matériau d'isolation peut en outre s'échauffer et devenir cassant. Le BFB met en garde : l'utilisation fréquente des fiches multiples ou des blocs multiprises peut également entraîner un relâchement des contacts. Le courant n'est alors plus transmis correctement. Cela entraîne un échauffement, ce qui représente un risque d'incendie considérable.

Source : Association des établissements cantonaux d'assurance incendie AEAI

Chiffres de la Suva : Moins d'accidents à cause de Corona

En 2020, la Suva a enregistré environ 430 000 accidents et maladies professionnelles. La Suva parle d'une diminution par rapport à l'année précédente. Comme on a moins travaillé, il y a eu moins d'accidents professionnels. Comme il y avait moins d'activités possibles, il y a également eu moins d'accidents de loisirs.

Accidents
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Au total, les assurés ont déclaré 430 000 accidents à la Suva en 2020 : 10 pour cent de moins que l'année précédente. Comme on travaillait moins et qu'il y avait moins d'activités de loisirs possibles, le nombre d'accidents professionnels a diminué de 9,8 pour cent et le nombre d'accidents de loisirs a même baissé de 10,9 pour cent. En revanche, le nombre d'accidents chez les personnes inscrites au chômage a de nouveau augmenté dans l'ensemble, car le nombre de chômeurs a également augmenté.

Le nombre d'accidents a fortement diminué, en particulier après le lockdown à partir de la mi-mars 2020. La Suva a ensuite enregistré presque deux fois moins d'accidents que l'année précédente, comme l'indique le communiqué. La deuxième vague a de nouveau entraîné un recul des accidents déclarés à partir d'octobre 2020. La plus forte baisse des accidents professionnels a été enregistrée dans l'aviation, avec un recul de 54 pour cent.

En ce qui concerne les accidents de loisirs, une évolution similaire à celle des accidents professionnels s'est dessinée. Depuis la fermeture des domaines skiables en mars 2020, le nombre d'accidents de ski a diminué de 22 %. L'arrêt prolongé de la pratique du football a également entraîné une baisse significative de 37 % sur l'ensemble de l'année par rapport à l'année précédente. En revanche, les accidents de vélo ont de nouveau augmenté, car les excursions en avril 2020 ont de nouveau souvent été favorisées par le beau temps. Ils auraient augmenté de 21 pour cent par rapport à l'année précédente.

Source : Suva

La grippe aviaire est sous contrôle en Suisse

L'Office fédéral de la sécurité alimentaire et des affaires vétérinaires (OSAV) lève les mesures contre la grippe aviaire au 15 mars - le virus ne se propage plus actuellement.

Grippe aviaire
Ces derniers mois, le virus de la grippe aviaire a été détecté chez différents oiseaux sauvages dans les pays limitrophes - deux cas ont été recensés en Suisse. (Pixabay)

Depuis l'automne dernier, le virus H5N4 de la grippe aviaire se propage dans le nord de l'Europe. Après avoir été détecté au préalable chez des oiseaux sauvages, les premiers cas sont apparus début novembre dans des élevages de volailles. Finalement, le virus de la grippe aviaire a été détecté chez un cygne et une corneille dans les pays frontaliers et deux cas ont également été enregistrés en Suisse : Dans le canton de Schaffhouse, le virus avait été détecté chez une mouette et une buse.

Depuis le 25 janvier, des mesures ont été prises dans la région du lac de Constance afin d'empêcher la transmission des oiseaux sauvages à la volaille domestique. Les mesures ordonnées ont été efficaces et le virus de la grippe aviaire ne se propage plus actuellement, communique l'OFAG. Les mesures sont donc levées. En Europe, la situation reste toutefois tendue, le radar de l'OFV pour les épizooties reste au rouge. L'influenza aviaire, appelée peste aviaire ou grippe aviaire dans le langage courant, est présente dans le monde entier. Selon les connaissances actuelles, le virus n'est pas transmissible à l'homme, mais l'OFAG recommande de ne pas toucher les oiseaux sauvages morts et d'annoncer les découvertes au garde-chasse.

Source : LID

Le DDPS renforce la sécurité de l'information

Le DDPS réévalue les risques des systèmes d'information. Ceux-ci doivent être mieux surveillés à l'avenir. Ces mesures font suite à un rapport d'audit de la révision interne du DDPS.

Depuis 2018, le DDPS gère ses risques en matière de sécurité de l'information au moyen d'un système de gestion de l'information (ISMS). La norme internationale ISO/CEI 27001 sert de base à ce système. La norme spécifie les exigences relatives à la mise en œuvre de mécanismes de sécurité appropriés afin de garantir que les risques liés à la cybersécurité sont systématiquement identifiés et rentabilisés.

Un examen de la révision interne du DDPS a montré que cet ISMS n'avait pas encore produit les effets escomptés au niveau du département, selon un communiqué de la Confédération. La cheffe du DDPS Viola Amherd a par conséquent différentes mesures a été ordonné. D'une part, un état des lieux déjà en cours doit être réalisé d'ici fin 2021 afin de déterminer la date à laquelle une certification ISO de l'ensemble du département serait possible.

D'autre part, une application ISMS standardisée doit permettre à l'avenir une gestion optimisée des risques afin de pouvoir diriger les unités administratives du DDPS ainsi que le Secrétariat général de manière "plus systématique, plus simple et plus efficace".

Vers le rapport d'audit "ISMS.DDPS Audit" du 18 janvier 2021 (PDF).

Source : DDPS

Cliché : les femmes causent plus d'accidents que les hommes

Une analyse du TCS le montre : Dans tous les cantons suisses, les femmes causent moins d'accidents que les hommes. Contrairement aux clichés habituels, ce sont toujours les usagers de la route masculins qui sont responsables de la plupart des accidents de la route.

Accidents
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Contrairement aux clichés habituels, les femmes causent beaucoup moins d'accidents que les hommes. Ainsi, les conductrices sur les routes suisses étaient responsables d'un quart de tous les accidents de la circulation en 2019, selon le TCS dans 13'915 des 53'528 cas enregistrés. Les hommes ont été responsables de 34'665 accidents de la route la même année, selon les statistiques.

Quatre fois moins de retraits de billets chez les femmes

En cas d'infraction grave, le retrait du permis de conduire est encouru. Les extrapolations montrent également que les femmes se voient retirer leur permis environ quatre fois moins que les hommes. D'un point de vue statistique, les hommes ont provoqué les accidents de la route les plus graves. En 2019, par exemple, 79 921 permis de conduire ont été retirés. Dans 80,63 pour cent des cas, les hommes étaient concernés, contre 19,37 pour cent de femmes. Chez les femmes, les moins de 20 ans (426), les 65-69 ans (479) et les 70-74 ans (550) ont été les moins touchés par les retraits de permis, alors que chez les hommes, ce sont les 70-74 ans (1 621) qui ont subi le moins de retraits de permis.

La tendance au faible nombre d'accidents de la route causés par des femmes se reflète dans tous les cantons. Dans le détail, le TCS mentionne les chiffres suivants concernant les cantons :

En chiffres absolus, 104 accidents ont été causés par des femmes contre 230 par des hommes en Appenzell Rhodes-Extérieures, 37 contre 59 en Appenzell Rhodes-Intérieures, 705 contre 1543 en Argovie, 299 contre 703 à Bâle-Campagne, 201 contre 535 à Bâle-Ville, 1549 contre 3650 dans le canton de Berne, 293 contre 739 dans le canton de Fribourg, 606 contre 1740 dans le canton de Genève, 88 contre 212 à Glaris, 490 contre 1577 dans les Grisons, 82 contre 196 dans le Jura, 506 contre 1282 dans le canton de Lucerne, 225 contre 521 dans le canton de Neuchâtel, 61 contre 146 à Nidwald, 70 contre 173 à Obwald, 698 contre 1829 dans le canton de St. Gall, 141 contre 275 dans le canton de Schaffhouse, 248 contre 527 à Schwyz, 429 contre 935 dans le canton de Soleure, 1036 contre 2369 au Tessin, 358 contre 785 en Thurgovie, 31 contre 227 à Uri, 246 contre 782 en Valais, 1'240 contre 3157 dans le canton de Vaud, 214 contre 478 dans le canton de Zoug et 3958 contre 9995 dans le canton de Zurich.

Source : TCS

Officiers d'état-major de l'armée nommés

Lors de sa séance du 12 mars 2021, le Conseil fédéral a nommé deux officiers généraux des Forces aériennes. Les promotions prendront effet le 1er juillet 2021.

Officiers supérieurs d'état-major
Brigadier Hugo Roux (à gauche sur la photo), Brigadier Peter Soller (à droite sur la photo)

Lors d'une séance du 12 mars, le Conseil fédéral a décidé de deux nominations d'officiers supérieurs d'état-major au 1er juillet 2021.

Brigadier Hugo RouxLe Conseil fédéral a nommé le commandant de la Formation d'application de défense contre avions 33 au 1er juillet 2021.

Pendant ses études de droit à l'université de Fribourg, cet homme de 51 ans a notamment travaillé comme enseignant de droit à l'école professionnelle de Morat. A cette époque, il a notamment suivi une formation continue au U.S. Air Force Command and Staff College de Maxwell de 2002 à 2003. De janvier à juillet 2017, il a été nommé ad interim commandant de la Formation d'application de la défense contre avions 33 par le Conseil fédéral et a été promu simultanément au grade de brigadier en juillet 2017.

Le brigadier Peter SollerLe commandant de la brigade d'instruction et d'entraînement des Forces aériennes, actuellement en fonction, sera promu commandant de la Formation d'application de la défense contre avions 33 à partir de juillet 2021.

Soller, 54 ans, est engagé depuis 1989 en tant que pilote militaire professionnel dans l'escadre de surveillance de la garde aérienne. Le 1er juin 2010, il a été nommé par le Conseil fédéral chef d'état-major du commandement de l'armée et chef d'état-major du chef de l'armée, avec promotion simultanée au grade de brigadier.

Source : Le Conseil fédéral

Effets secondaires des vaccins Covid-19

Jusqu'au 8 mars, Swissmedic a évalué, en collaboration avec des centres pharmaceutiques, 597 déclarations d'effets indésirables liés à la vaccination par le Covid-19.

Vaccination
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Jusqu'au 8 mars 2021, Swissmedic a évalué, en collaboration avec les centres régionaux de pharmacovigilance, 597 annonces d'effets indésirables médicamenteux (EIM) présumés dus aux vaccins Covid-19 en Suisse. Selon le communiqué de Swissmedic, 343 annonces concernent Pfizer/Biontech et 251 le vaccin Covid-19 de Moderna.

La majorité des notifications n'étaient pas graves

Environ deux tiers des signalements concernaient des femmes, et dans une moindre mesure (moins d'un tiers) des hommes. La majeure partie des déclarations n'étaient pas graves. Les réactions les plus fréquemment signalées dans les cas étaient la fièvre, la détresse respiratoire, l'infection par le SRAS-nCoV-2, les vomissements, l'hypersensibilité ainsi que les réactions anaphylactiques, les maux de tête ou les migraines et la réactivation de l'herpès zoster (10), comme l'indique Swissmedic.

Dans 21 des cas graves, les personnes, pour la plupart âgées de plus de 85 ans et souffrant de maladies préexistantes, sont décédées. Selon Swissmedic, ces cas ont été analysés avec un soin particulier. Rien n'indiquerait toutefois que le vaccin soit à l'origine du décès. Les autorités de contrôle des médicaments d'autres pays ainsi que l'OMS parviendraient à des résultats similaires lors de l'évaluation des décès en relation temporelle avec les vaccins Covid-19.

Effets secondaires connus des vaccins Covid-19 : www.swissmedicinfo.ch 

Source : Swissmedic

Protection de la police bernoise Stefan Blättler est nommé directeur de l'Institut de police de Neuchâtel

Stefan Blättler a été nommé nouveau directeur de l'Institut suisse de police. Il prendra ses fonctions le 1er janvier 2022 et succèdera à Reto Habermacher.

Police
zVg

Le commandant de la police cantonale bernoise, Stefan Blättler, prendra la direction de l'Institut suisse de police (ISP) à Neuchâtel à partir du 1er janvier 2022. Il y succède au directeur Reto Habermacher, décédé en janvier dernier. Reto Habermacher, l'ancien directeur de l'ISP, était décédé de manière inattendue et soudaine le 8 janvier.

Stefan Blättler dispose d'un réseau international et a étudié à la Faculté de droit de l'Université de Neuchâtel où il a obtenu un doctorat en droit en 1987. Sa carrière professionnelle l'a mené de Neuchâtel, où il était assistant à la chaire de droit pénal, à la police cantonale bernoise, qu'il dirige depuis le 1er août 2006, en passant par le secteur bancaire genevois en 1989. Depuis 1990, il est en outre chargé de cours et directeur de cours à l'ISP et a également dirigé la Conférence des commandants de police cantonaux de 2014 à 2020.

Source : communiqué de presse

 

Protéger la propriété intellectuelle

Il est possible de vendre des informations commerciales critiques à un concurrent ou à un État-nation dont les marchés mondiaux sont en concurrence. Dix conseils permettent aux entreprises de protéger leurs données commerciales à moindre coût.

Propriété intellectuelle
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La propriété intellectuelle doit être particulièrement bien protégée. Si des pirates informatiques ont pénétré dans le réseau d'une entreprise, ils peuvent, après une exfiltration réussie, vendre des informations critiques à un concurrent ou à un État-nation dont les marchés mondiaux sont en concurrence. Dix mesures garantissent que les entreprises sont mieux préparées à protéger les données critiques. Le fournisseur de sécurité Gardien numérique donne ci-après dix conseils qui peuvent être mis en œuvre immédiatement.

1. crypter les données sensibles

Le cryptage des données sensibles est essentiel pour la protection de la propriété intellectuelle. Cela permet aux entreprises d'ajouter une couche de protection supplémentaire qui rend l'accès aux données plus difficile en cas de vol par un pirate. Le chiffrement devrait être entièrement basé sur les disques et les fichiers pour les points finaux, et devrait en outre imposer le chiffrement pour les e-mails et les appareils.

2. maintenir les systèmes d'exploitation et les logiciels à jour

Les mises à jour du système d'exploitation et des logiciels contiennent des mises à jour de sécurité critiques qui corrigent les vulnérabilités. Il convient donc, dans la mesure du possible, d'activer les mises à jour automatiques des logiciels afin de rationaliser le processus et de s'assurer que tout est toujours à jour.

3. utilisation de solutions de sécurité des données

Les logiciels antivirus ne protègent pas contre tous les types de menaces, mais offrent uniquement une protection de base contre les logiciels malveillants répandus et connus. Les attaquants qui visent la propriété intellectuelle sensible utilisent généralement des méthodes sophistiquées pour s'introduire dans les systèmes. Les logiciels antivirus peuvent être contournés lors de ces attaques. Les entreprises devraient donc envisager d'utiliser un logiciel de sécurité des données qui se situe au niveau du noyau des points finaux et qui offre une vue complète de toutes les données auxquelles on accède et qui sont transmises. La solution devrait être en mesure de bloquer complètement les données confidentielles structurées et non structurées et d'appliquer des politiques d'application pour empêcher ces données de quitter l'environnement informatique de l'entreprise.

4. comptes avec des mots de passe uniques et complexes

La réutilisation des mêmes mots de passe ou de mots de passe légèrement modifiés sur différents comptes est l'un des plus grands risques de sécurité en cas de violation de données. Si les employés utilisent leurs mots de passe plusieurs fois, la compromission d'un compte non sensible peut permettre aux pirates d'accéder au réseau de l'entreprise. De là, les pirates peuvent passer à des comptes privilégiés et accéder à des données sensibles stockées dans des bases de données, des répertoires et d'autres ressources informatiques.

5. archiver les données en temps voulu et en toute sécurité

Minimiser la quantité de données stockées par les entreprises sur les appareils permet de réduire la quantité d'informations disponibles pour un attaquant qui aurait réussi à accéder à ces appareils. Lorsque les données ne sont plus nécessaires, elles devraient être cryptées et déplacées vers un périphérique de stockage hors ligne pour un archivage à long terme.

6. surveillance régulière de l'activité à travers les comptes d'utilisateurs

La surveillance du comportement des utilisateurs pour détecter des activités anormales ou suspectes est l'une des méthodes les plus rapides pour identifier une violation de la sécurité avant qu'elle ne puisse causer des dommages. Si une activité suspecte est détectée, toutes les parties concernées doivent être immédiatement informées. Même si d'autres mesures de protection ont été prises, la surveillance est souvent le moyen le plus rapide de détecter une infraction à la sécurité. Les signes d'alerte les plus fréquents sont par exemple les informations de connexion utilisées sur plusieurs ordinateurs, les employés qui accèdent à des bases de données ou des répertoires auxquels ils n'ont jamais eu accès auparavant, ou les connexions en dehors des heures de travail.

7. changement de tous les mots de passe après une éventuelle violation des données

Après avoir pris connaissance d'une violation de la sécurité, la première étape la plus importante est de changer tous les mots de passe associés. Cela permet de s'assurer que les données de connexion sont inutiles, même si elles ont été volées.

8. paramètres de sécurité des données des applications mobiles et des comptes en ligne

Il est également essentiel de rester en phase avec les paramètres de sécurité des données pour les différents comptes et applications, en particulier compte tenu de la popularité du BYOD sur le lieu de travail. Cela permet de s'assurer que les utilisateurs non autorisés n'ont pas accès aux informations privées et sensibles ou à la propriété intellectuelle de l'entreprise.

9. contrôles des appareils pour les supports amovibles

Bien que la majeure partie de la sécurité informatique se concentre sur la protection contre les attaquants externes, les menaces internes ne doivent pas être négligées. Les entreprises devraient s'assurer qu'elles disposent de contrôles sur les périphériques de stockage amovibles afin d'empêcher les employés d'accéder à la propriété intellectuelle sensible au sein du réseau et de la faire sortir. Un logiciel de sécurité pour le contrôle des périphériques qui automatise le processus avec des contrôles d'utilisation des périphériques de stockage amovibles basés sur des politiques, y compris des alertes ou des blocages lorsqu'un comportement à risque est détecté, est très efficace pour contrer les menaces internes.

10. formation des employés contre les attaques de phishing

Pour les pirates, il est souvent plus efficace d'inciter une cible à effectuer une action souhaitée à l'aide de l'ingénierie sociale que d'effectuer des piratages manuels complexes. Les attaques de phishing présentent généralement des signes révélateurs tels que des expéditeurs inconnus, des noms de domaine étrangers, des pages web falsifiées ou des e-mails avec des liens ou des pièces jointes malveillants. Il est donc recommandé d'organiser régulièrement des formations pour les collaborateurs et des formations de simulation afin de renforcer la vigilance des collaborateurs.

La propriété intellectuelle est l'un des actifs les plus précieux d'une entreprise. C'est pourquoi il est important de mettre en œuvre une stratégie globale de sécurité des données, y compris des bonnes pratiques de base comme l'hygiène des mots de passe et une gestion solide des correctifs dans tous les services internes et chez les fournisseurs tiers qui travaillent avec la propriété intellectuelle. Cela permet de réduire considérablement le risque d'Intellectual Property Theft.

Source : Digital Guardian

Vaccin Covid : la Confédération conclut un nouveau contrat avec Pfizer

La Confédération a conclu un nouveau contrat avec Pfizer / Biontech portant sur trois millions de doses de vaccin et a ainsi doublé la quantité de doses de vaccin supplémentaires commandées. Les vaccins supplémentaires seront livrés en Suisse à partir du mois d'avril.

Vaccin Covid
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La Confédération continue de miser sur les vaccins à ARNm. Selon l'Office fédéral de la santé publique (OFSP), ceux-ci se sont révélés jusqu'à présent très efficaces et bien tolérés. C'est pourquoi la Confédération a conclu un nouveau contrat avec Pfizer/Biontech portant sur trois millions d'unités supplémentaires du vaccin. Le vaccin présente une efficacité de 99 pour cent et est déjà administré en Suisse depuis décembre. Jusqu'à présent, des contrats ont déjà été conclus avec cinq fabricants de vaccins.

Il s'agit en particulier des vaccins de Moderna (environ 13,5 millions de doses au total), Pfizer/BioNTech (6 millions de doses au total), Astra Zeneca (environ 5,3 millions de doses) et Curevac (5 millions de doses) ainsi que Novavax (6 millions).

L'achat de vaccins auprès de différents fabricants doit garantir que, même en cas de difficultés de livraison, la population dispose de suffisamment de doses d'un vaccin autorisé, comme l'indique la Confédération. Des discussions sont toujours en cours avec différents fabricants de vaccins.

Selon le communiqué, toutes les personnes en Suisse qui le souhaitent devraient recevoir un vaccin d'ici l'été. La condition préalable reste toutefois que les livraisons de vaccins arrivent et que des capacités de vaccination suffisantes puissent être mises à disposition.

Source : OFSP

Les messages d'alarme arrivent désormais aussi via l'application météo

Les messages d'alerte suisses sont désormais également envoyés via l'application Meteo Swiss. Cette application est considérée comme l'une des applications météo les plus utilisées en Suisse.

Messages d'alarme

Jusqu'à présent, les alarmes peuvent être diffusées par les polices cantonales et la Centrale nationale d'alarme (CENAL). Selon l'Office fédéral de la protection de la population (OFPP), il est crucial pour les autorités d'atteindre la population le plus rapidement et le plus complètement possible. Jusqu'à présent, les informations et les consignes de comportement sont diffusées par la radio et l'application Alertswiss. Une nouvelle collaboration entre l'Office fédéral de la protection de la population (OFPP) et l'Office fédéral de météorologie et de climatologie (Météo Suisse) permet d'étendre les messages d'alerte et de les diffuser également via l'application Météo Swiss. La nouvelle fonction de la célèbre application météo comprend un message push lorsque des régions favorites ou le lieu où l'on se trouve sont concernés par un message d'alerte.

Selon l'OFPP, seules quelques alertes sont émises chaque année, la plupart du temps à l'échelle locale, par exemple en cas d'incendie ou de fumée, afin que les habitants d'un quartier soient avertis à temps de la présence de substances toxiques. L'application Meteo Swiss fait partie des applications les plus utilisées en Suisse et a été téléchargée 20 millions de fois jusqu'à présent. La nouvelle version de l'application Meteo Swiss, qui permet de recevoir des messages d'alarme d'Alertswiss, est disponible sur l'App Store et le Google Play Store.

Source : OFPP

Guide pour la planification de l'éclairage de sécurité

L'éclairage de sécurité est considéré comme un élément important de l'éclairage de secours, permettant de fournir immédiatement et automatiquement une lumière suffisante en cas de panne de courant. Le BHE Bundesverband Sicherheitstechnik e.V. a publié un nouveau document à ce sujet.

Éclairage de sécurité
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La BHE Bundesverband Sicherheitstechnik e.V. a publié un nouveau guide sur la planification professionnelle de l'éclairage de sécurité. L'éclairage de sécurité est un élément important de l'éclairage de secours. En tant que système d'éclairage supplémentaire, il est alimenté par une source de courant indépendante, de sorte qu'en cas de panne ou de dysfonctionnement, la lumière est immédiatement disponible pour permettre aux personnes concernées de quitter une pièce en toute sécurité, sans provoquer de panique. Un éclairage de sécurité soutient en outre les mesures de sauvetage. De plus, les dispositifs de lutte contre l'incendie ou de signalisation sont signalés le long des voies d'évacuation afin de permettre aux personnes étrangères au lieu de s'orienter. Afin d'aider les planificateurs spécialisés et les installateurs lors de l'élaboration du concept et de la planification, la commission spécialisée de BHE a élaboré un nouveau document qui traite en particulier de l'aide à la planification et à la documentation, de l'éclairage de sécurité et des systèmes de guidage de sécurité optiques à commande électrique. La liste de contrôle est un "projet dynamique" qui peut, si nécessaire, être examiné par une commission spécialisée.

(Les membres du BHE trouveront le document sur le site Internet www.bhe.de sous Secteurs spécialisés - Éclairage de sécurité (Login nécessaire).

Source : bhe.de

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