Checkpoint met en garde contre la fraude aux vaccins sur le darknet

Le fournisseur de sécurité informatique Checkpoint met en garde contre les escrocs qui proposent sur le darknet de soi-disant vaccins de Biontech et Pfizer contre des bitcoins. Derrière ces offres se cachent souvent des médicaments contrefaits et des logiciels malveillants.

Point de contrôle

Désormais, le commerce de soi-disant vaccins prend également de l'ampleur sur le Darknet. Ainsi, avertit le fournisseur de solutions de cybersécurité Checkpoint contre les contrefaçons de vaccins sur le Darknet. Des escrocs proposent des doses de vaccin courantes comme celles de Biontech et de Pfizer. Des bitcoins sont exigés comme moyen de paiement. Avec la monnaie anonyme d'Internet, un mode de paiement courant sur le darknet, la traçabilité s'avère également difficile.

"Offres de vaccins" en hausse de 400

Sur le darknet, le nombre de publicités concernant le prétendu vaccin de Pfizer et Biontech a augmenté de 400 %. Selon le communiqué de Checkpoint, une simple recherche effectuée par les chercheurs en sécurité a fait apparaître 340 résultats sur 34 pages. En décembre, une recherche similaire n'avait abouti qu'à environ huit pages.

Les prix des vaccins proposés sont également intéressants. Ceux-ci passent entre-temps de 250 à 1000 dollars US sur le marché noir. En règle générale, ce ne sont pas des doses individuelles qui sont vendues, mais des paquets entiers. Mais il est également effrayant d'observer que la plupart des vaccins sont annoncés comme "Made in China" et ne contiennent donc pas de marque d'une autorité telle que la FDA ou l'ENSA.

Mais la fiabilité des offres est également discutable. Checkpoint a fait l'essai. Certains des vendeurs contactés ne livrent pas ou prétendent soudainement, lors de la prise de contact, avoir beaucoup plus de doses de vaccin et vouloir les livrer d'un seul coup à un prix beaucoup plus élevé, parce qu'en règle générale, deux doses sont nécessaires par vaccination. Mais il est également possible, comme l'écrit Checkpoint, que les offres ne cachent souvent que des médicaments contrefaits - ou tout simplement : des logiciels malveillants.

Précédemment a également mis en garde la police supranationale Europol.

Source : research.checkpoint.com

Corona : L'obligation de présence aux cours de secourisme toujours assurée

Il est toujours possible de dispenser les cours BLS-AED qui sauvent des vies. Le Conseil fédéral a procédé aux adaptations nécessaires concernant les exceptions à l'enseignement en présence physique.

Cours en présentiel
Pixabay

Comme le résume l'association Swiss Resuscitation Council (SRC), la Confédération ne renonce pas à l'obligation de présence lors des cours de secourisme. Certes, la présence physique est actuellement interdite par principe lors des manifestations de formation, mais le Conseil fédéral renonce néanmoins à une interdiction absolue de présence, même avec les mesures renforcées Covid-19 du 13 janvier.

Des adaptations correspondantes ont toutefois été apportées aux commentaires relatifs à l'art. 6d de la directive sur l'égalité raciale. Ordonnance Covid-19L'article 3, paragraphe 2, de la directive sur l'égalité raciale décrit l'interprétation de la dérogation pour l'enseignement présentiel :

Désormais, les dérogations sont limitées aux offres de formation continue qui
- à un diplôme réglementé par l'État (par exemple, formation professionnelle supérieure)
- un diplôme reconnu dans la branche ou
- d'autres diplômes et certificats importants pour la société (tels que Cours de secourisme ou de "sauvetage".).

Condition préalable pour l'admissibilité de l'enseignement présentiel, il reste que la présence physique est impérative. Les professions de soins ou médicales sont citées en exemple.

Sont également importantes les Recommandations des autorités fédérales et cantonales.

Source : SRC

Eléments combustibles controversés à la centrale nucléaire de Leibstadt

La centrale nucléaire de Leibstadt aurait reçu en décembre dernier des éléments de combustible d'une entreprise d'Allemagne sans autorisation d'exportation. L'association pour l'environnement et la protection de la nature du Bade-Wurtemberg a déposé une plainte.

Centrale nucléaire de Leibstadt
© depositphotos, PirenX

Selon un article du quotidien berlinois "taz"La société allemande Framatome, qui fabrique des éléments de combustible, est menacée d'une amende. Annonce de la fédération allemande pour l'environnement et la protection de la nature du Bade-Wurtemberg. Il lui est reproché d'avoir livré en décembre à la centrale nucléaire de Leibstadt des éléments de combustible sans autorisation d'exportation.

Mais les exploitants des centrales nucléaires s'y opposent. Selon un porte-parole à la "Journal d'Argovie"Les 72 éléments combustibles de décembre seraient couverts par une autorisation d'exportation que l'Office fédéral allemand de l'économie et du contrôle des exportations aurait reçue du fournisseur. Selon la centrale nucléaire de Leibstadt, l'autorisation de transport est également disponible.

Peine d'emprisonnement possible jusqu'à cinq ans

Cependant, le conflit juridique, qui dure depuis plusieurs mois, devrait continuer à occuper la centrale nucléaire. L'opposition du Bade-Wurtemberg est actuellement examinée par le tribunal administratif de Francfort. Selon le code pénal allemand, l'exportation non autorisée de combustible nucléaire est passible d'une peine de prison pouvant aller jusqu'à cinq ans.

Etant donné que l'opposition déposée contre l'autorisation d'exportation, contrairement à un cas concernant la Belgique, n'émane pas de personnes individuelles, mais d'une organisation environnementale habilitée à agir en justice, la situation de départ est différente dans le cas de la Suisse. En Allemagne, tant l'organisation de protection de l'environnement que l'autorité de contrôle compétente pour l'exportation d'éléments combustibles vers la Suisse émettent des doutes.

Si le groupe nucléaire français Framatome se voit retirer sa fiabilité, il ne pourra plus effectuer d'autres transports.

Sources : Infosperber, "taz", Aargauer Zeitung

Le marché noir des vaccins sur le darknet a connu une croissance fulgurante

Le fournisseur de sécurité informatique Checkpoint met en garde contre les escrocs qui proposent sur le darknet de soi-disant vaccins de Biontech et Pfizer contre des bitcoins. Derrière ces offres se cachent souvent des médicaments contrefaits et des logiciels malveillants.

Darknet

Désormais, le commerce de soi-disant vaccins prend également de l'ampleur sur le Darknet. Ainsi, avertit le fournisseur de solutions de cybersécurité Checkpoint contre les contrefaçons de vaccins sur le Darknet. Des escrocs proposent des doses de vaccin courantes comme celles de Biontech et de Pfizer. Des bitcoins sont exigés comme moyen de paiement. Avec la monnaie anonyme d'Internet, un mode de paiement courant sur le darknet, la traçabilité s'avère également difficile.

"Offres de vaccins" en hausse de 400

Sur le darknet, le nombre de publicités concernant le prétendu vaccin de Pfizer et Biontech a augmenté de 400 %. Selon le communiqué de Checkpoint, une simple recherche effectuée par les chercheurs en sécurité a fait apparaître 340 résultats sur 34 pages. En décembre, une recherche similaire n'avait abouti qu'à environ huit pages.

Les prix des vaccins proposés sont également intéressants. Ceux-ci passent entre-temps de 250 à 1000 dollars US sur le marché noir. En règle générale, ce ne sont pas des doses individuelles qui sont vendues, mais des paquets entiers. Mais il est également effrayant d'observer que la plupart des vaccins sont annoncés comme "Made in China" et ne contiennent donc pas de marque d'une autorité telle que la FDA ou l'ENSA.

Mais la fiabilité des offres est également discutable. Checkpoint a fait l'essai. Certains des vendeurs contactés ne livrent pas ou prétendent soudainement, lors de la prise de contact, avoir beaucoup plus de doses de vaccin et vouloir les livrer d'un seul coup à un prix beaucoup plus élevé, parce qu'en règle générale, deux doses sont nécessaires par vaccination. Mais il est également possible, comme l'écrit Checkpoint, que les offres ne cachent souvent que des médicaments contrefaits - ou tout simplement : des logiciels malveillants.

Précédemment a également mis en garde la police supranationale Europol.

Source : research.checkpoint.com

La Suisse est prête à faire face à une menace terroriste

La gestion d'une situation de menace terroriste fonctionnerait bien en Suisse au niveau opérationnel. Un rapport final de la Confédération contient toutefois quelques recommandations pour l'ensemble de la Suisse.

Menace terroriste

Dans le cadre d'un exercice organisé dans toute la Suisse du 11 au 13 novembre, on a examiné comment la Suisse pourrait faire face à une menace terroriste de longue durée et quels aspects seraient prioritaires. Selon un communiqué de la Confédération, quelque 2000 cadres de 70 états-majors de la Confédération et des cantons ont participé à l'exercice dans le cadre du Réseau national de sécurité (RNS) (SVU 19).

Processus de commandement unifié pour les corps de police

Sur le plan opérationnel, la Suisse pourrait donc bien gérer une situation de menace terroriste. Toutefois, quelques points faibles ont été identifiés dans la gestion de crise. Il s'agit par exemple de créer des processus de conduite contraignants au niveau international pour les corps de police et des ordres d'opération uniformes. En outre, l'image stratégique de la situation doit être uniformisée avec une concentration de toutes les questions techniques afin de la standardiser pour tous les types de crises. En outre, la communication de crise au niveau politique doit être incluse dans un prochain exercice. En tenant compte également des résultats de la gestion de la pandémie, le Conseil fédéral entend débattre d'une planification globale pour les exercices de grande ampleur d'ici la mi-2021.

Au total, 15 recommandations ont été transmises aux conférences cantonales spécialisées de la Direction de la justice et de la police ainsi qu'à l'armée et à la protection civile. Les cantons ont déjà pris connaissance du rapport lors de l'assemblée d'automne de la CCDJP du 12 novembre 2020 et lors de l'assemblée plénière de la CCMP du 30 novembre 2020 et sont en train de le mettre en œuvre. Le Conseil fédéral mandate cependant la mise en œuvre de huit des recommandations, pour lesquelles les services fédéraux ont le lead.

Source : Conseil fédéral

Cyberark identifie quatre défis clés en matière de sécurité pour 2021

En 2021, la sécurité informatique restera l'un des principaux défis de toutes les entreprises. Corona a certes accéléré la transformation numérique, mais les aspects de sécurité ont souvent été négligés. Selon Cyberark, une stratégie de sécurité cohérente dans différents domaines, du bureau à domicile au cloud, est donc particulièrement décisive.

Sécurité informatique
© depositphotos, Funtap

L'évolution du monde du travail, en particulier l'utilisation accrue du cloud et de l'informatique à distance, a également entraîné de nouvelles exigences en matière de sécurité. Les cybercriminels s'intéressent de plus en plus aux attaques par ingénierie sociale. Le changement numérique a donc également entraîné de nouvelles exigences en matière de sécurité, qui occuperont encore de nombreuses entreprises en 2021. Cyberark identifie quatre défis majeurs pour la sécurité informatique.

1. Travail à distance : Ce n'est pas nécessairement le pare-feu du réseau d'entreprise qui est devenu le plus important, mais surtout la protection au niveau des terminaux afin d'éviter une attaque de logiciels malveillants. Une protection antivirus n'est toutefois pas suffisante à ce stade, mais selon Cyberark, il est indispensable d'adopter une "approche du moindre privilège", dans laquelle les droits d'accès des utilisateurs à un ordinateur sont limités. Minimum y compris l'authentification de l'utilisateur. Il est tout aussi important d'établir l'authentification multi-facteurs dans les entreprises, propage le prestataire de services de sécurité informatique.

2. l'ingénierie sociale : La première étape pour empêcher les attaques d'ingénierie sociale réussies consisterait notamment à "développer la conscience" des collaborateurs. La sensibilisation régulière aux risques de sécurité et les formations continues sur les "meilleures pratiques de cybersécurité" sont "un must absolu".

3. Automatisation : L'automatisation croissante dans les entreprises augmente également les risques de sécurité, par exemple par le biais de la Robotic Process Automation (RPA) dans l'environnement professionnel ou des outils d'automatisation. Par conséquent, les applications, leurs programmes et leurs automatismes doivent également disposer d'une structure de droits appropriée et les accès doivent être sécurisés et contrôlés de la même manière que ceux des personnes.

4. utilisation du cloud : L'utilisation accrue de solutions et de services en nuage présente également des risques pour la sécurité. En outre, une entreprise devrait utiliser des outils qui permettent de centraliser des milliers de droits Cloud différents et d'identifier les autorisations cachées, mal configurées ou inutilisées.

Source : Cyberark

Le durcissement doit être socialement amorti

L'Union syndicale suisse salue certaines mesures de renforcement de la Confédération. Toutefois, selon le syndicat, il faudrait imposer davantage de concepts de protection, en particulier dans les maisons de retraite et les établissements de soins.

Concepts de protection
Pixabay

L'Union syndicale suisse salue certaines des mesures prises hier par le Conseil fédéral, notamment la protection supplémentaire des emplois menacés, par exemple avec le droit généralisé au travail à domicile. L'USS trouve néanmoins "difficilement compréhensible" que le Conseil fédéral n'ait pas saisi l'occasion d'édicter des prescriptions plus strictes pour les établissements de soins et les maisons de retraite.

Demande de plus de mesures de protection dans les maisons de soins

Le fait que les travailleurs qui ont été infectés par le Covid-19 ou qui ont dû se mettre en quarantaine aient parfois été invités à reprendre le travail est également une épine dans le pied du syndicat : c'est "inacceptable" et cela met en danger la vie et l'intégrité corporelle, dit-on à Berne. On aurait pu profiter de l'occasion pour adopter des mesures de durcissement dans ce domaine également.

Si l'on en croit l'USS, les concepts de protection devraient être mis en œuvre de manière plus systématique et le personnel devrait être indemnisé de manière adéquate jusqu'à ce que les personnes concernées soient vaccinées. En outre, la situation dans le domaine des soins s'aggraverait de toute façon en raison du manque de personnel. C'est pourquoi il convient d'améliorer leurs conditions de travail, comme le salaire et la formation.

On salue globalement l'assouplissement des dispositions sur les cas de rigueur qui vient d'être décidé, ajoute-t-on. La rapidité de leur mise en œuvre devrait toutefois dépendre du rythme des cantons. En outre, il est devenu encore plus difficile pour les chômeurs de retrouver un emploi, car ils risquent davantage d'arriver en fin de droits. Dans un communiqué, l'USS demande donc une prolongation urgente des indemnités journalières et du nombre d'indemnités journalières.

Source : USS

Deuxième vaccin Covid autorisé pour la population générale

L'autorité de contrôle des produits thérapeutiques Swissmedic a autorisé le 12 janvier 2021 le deuxième vaccin Covid 19 pour le marché suisse. Ainsi, un demi-million de doses de vaccin sont désormais disponibles en Suisse en janvier. La première livraison de 200'000 doses de "Moderna" aura lieu dans les prochains jours.

Vaccin

Le 12 janvier 2021, la Suisse a désormais également reçu 200 000 doses du vaccin Moderna, qui a déjà reçu l'autorisation de Swissmedic. Le vaccin convient à tous les adultes à partir de 18 ans, sans restriction d'âge. Avec le principe actif de Pfizer et de Biontech, la Confédération dispose désormais d'un demi-million de doses de vaccin en janvier. La Confédération a commandé 7,5 millions d'unités de Moderna. Selon l'OFSP, les deux vaccins auraient un effet protecteur similaire de 95 et 94 pour cent. La pharmacie de l'armée distribue le vaccin aux cantons.

Le vaccin Moderna, comme celui de Pfizer et de Biontech, mise lui aussi sur la Technologie ARNm. Il s'agit d'une sorte de molécule messagère qui transporte le mode d'emploi pour la fabrication des protéines. Ce "messager de construction" transmet aux cellules de l'organisme les informations nécessaires à la fabrication d'une protéine virale. Dès que la protéine est produite dans le corps, le système immunitaire la reconnaît comme étrangère à l'organisme et produit ainsi les anticorps contre le virus. Selon l'OFSP, deux doses espacées d'environ quatre semaines sont toutefois nécessaires pour assurer une protection vaccinale optimale. La livraison du premier lot de vaccin Moderna aura lieu dans les prochains jours.

Jusqu'à présent, la Confédération a acheté au total plus de 15 millions de doses de vaccins auprès de trois producteurs de vaccins, dont Moderna (environ 7,5 millions de doses au total) et Pfizer/Biontech (environ trois millions de doses), ainsi que l'entreprise pharmaceutique Astra Zeneca (environ 5,3 millions de doses). Le vaccin d'Astra Zeneca est encore en cours d'autorisation auprès de Swissmedic. La Confédération serait en discussion avec d'autres fabricants de vaccins. Parallèlement, la Suisse participe à la campagne internationale "Initiative de Covax"L'objectif est d'obtenir un accès aux vaccins pour jusqu'à 20 % de la population suisse et de permettre aux pays économiquement plus faibles d'accéder aux vaccins.

Groupes à risque et autres groupes cibles par priorité

La plupart des cantons ont déjà mis en place des centres de vaccination pour les vaccins ; des équipes mobiles interviennent en outre dans les maisons de retraite et les établissements de soins. Selon l'OFSP, la stratégie nationale de vaccination prévoit de vacciner en priorité les personnes particulièrement à risque, c'est-à-dire les personnes âgées et celles qui ont des antécédents médicaux. En deuxième priorité, le personnel de santé peut se faire vacciner et en troisième priorité, les personnes qui vivent avec des personnes particulièrement vulnérables. En quatrième priorité, les personnes vivant dans des collectivités où le risque d'infection et d'épidémie est élevé (par exemple les foyers pour handicapés) et leur personnel.

Toutes les autres personnes adultes pourront se faire vacciner dès qu'un nombre suffisant de doses de vaccin sera disponible. Les enfants et les femmes enceintes ne font pas encore partie des groupes cibles de la stratégie de vaccination, car les données d'études correspondantes ne sont pas encore disponibles pour ces groupes. La vaccination n'est pas obligatoire. La vaccination Covid-19 est gratuite pour la population.

Source : OFSP

Les principales tendances des caméras de vidéosurveillance B2B en 2021

Les caméras de vidéosurveillance et leurs solutions logicielles deviennent de plus en plus complexes, mais aussi de plus en plus intelligentes. Dans un rapport, Panasonic donne un aperçu des principales tendances pour 2021.

Caméras de vidéosurveillance
Panasonic

Avec la tendance à l'hyperautomatisation, les systèmes de vidéosurveillance vont encore gagner du terrain en 2021. Les applications d'intelligence profonde pourraient également contribuer non seulement à la gestion du trafic pendant la pandémie, mais aussi à un nombre croissant de tâches organisationnelles. Panasonic Security Solutions résume les principales tendances en matière de solutions de vidéosurveillance dans le secteur B2B.

Technologie prédictive : À l'avenir, les caméras de surveillance IP ne seront pas toujours des assistants, mais des "aides" actives, permettant au personnel de se concentrer sur des choses importantes. Les caméras prédiront encore plus les comportements et les points de danger, au lieu de se contenter de les scanner.

Reconnaissance faciale et modèles de comportement : La reconnaissance faciale, aussi effrayant que cela puisse paraître, continuera d'occuper une place importante : Les nouvelles solutions peuvent ainsi identifier les visages de manière plus fiable, même si les personnes portent des lunettes de soleil, des couvre-chefs ou un masque.

Deep KI : Applications d'intelligence profonde pourraient à l'avenir être utilisés de manière encore plus polyvalente, par exemple pour empêcher les cambriolages ou prévenir les accidents. Les algorithmes d'intelligence artificielle "reconnaissent" si les objets filmés sont des personnes ou des véhicules et peuvent même faire la différence entre les voitures, les camions, les motos et les vélos.

Automatisation progressive : Dans le domaine des caméras de surveillance également, l'automatisation conduira à des solutions optimisées, ou plutôt les technologies telles que la robotique, l'IA et le Machine Learning convergeront encore davantage.

Gestion des pandémies : Grâce au moteur d'intelligence artificielle, les alarmes pourront bientôt être déclenchées avec une précision plus grande que jamais, par exemple lorsque des événements se produisent différemment de ce qui était prévu ou s'écartent de la normale. À l'avenir, elles pourraient même être couplées à des signaux audio, par exemple lorsqu'une foule se rassemble ou se divise à cause d'une détonation.

Sources : Panasonic Sécurité

 

 

6500 accidents de luge par an

Chaque saison, de nombreux patineurs se blessent gravement dans les sports d'hiver. Il s'agit souvent d'auto-accidents ou de collisions avec l'environnement ou des personnes. Une blessure sur six concerne la tête.

Faire de la luge

Selon le Bureau de prévention des accidents (BPA), 6500 accidents de luge se produisent en moyenne chaque année. Les personnes accidentées doivent généralement se faire soigner après un accident. Les accidents sont souvent dus à des pertes de maîtrise ou à des collisions, par exemple avec d'autres personnes, des arbres, des barrières, des poteaux ou des voitures.

Préoccupant : une blessure sur six concerne la tête, car moins de la moitié des adultes font de la luge sur les pistes de neige avec un casque. Le BPA dénonce cette situation : Les personnes qui possèdent un casque de neige doivent absolument le mettre avant chaque sortie. Les casques de vélo sont également une bonne alternative pour prévenir les blessures graves au crâne et au cerveau.

Mais il est presque aussi important d'avoir des chaussures solides avec un bon profil pour pouvoir faire de la luge en toute sécurité. Dans les magasins spécialisés, il existe des aides au freinage supplémentaires qui peuvent être fixées aux chaussures. Dans certaines régions de luge, il est également possible de les louer.

Certains accidents de luge sont également dus au choix de la luge, comme le précise le BEAA. Les classiques "Davos" ou "Grindelwald", par exemple, ne sont pas conçus comme des engins de sport, mais plutôt pour le transport de charges. Une luge est plus facile à diriger dans les descentes.

Mesures de prévention importantes :

Légère baisse des accidents mortels dans l'agriculture

Le nombre d'accidents dans l'agriculture a légèrement diminué l'année dernière. Au total, 28 accidents mortels ont eu lieu. Huit personnes ont perdu la vie à la suite d'une chute de véhicule.

Agriculture
Pixabay

Comme le rapportent le Service de prévention des accidents dans l'agriculture (SPAA) et Agriss, 28 accidents mortels se sont produits l'année dernière dans l'agriculture. La comparaison avec le nombre d'accidents des années précédentes permet d'espérer une légère tendance à la baisse. Le nombre se situe donc un peu en dessous de la moyenne des cas recensés entre 2015 et 2019, avec une moyenne de 33 accidents mortels par an. Dans ce contexte, huit personnes ont perdu la vie en raison d'une chute de véhicule avec renversement sur le terrain. Deux de ces personnes ont été renversées par leur propre véhicule. Au total, neuf personnes ont été mortellement touchées par la chute d'arbres ou de parties d'arbres lors de travaux forestiers. D'autres accidents se sont produits lors de débranchements de machines, de chutes d'échelles et d'échafaudages ou de chutes dans le terrain, ainsi que lors de chutes liées à des animaux, poursuit le SPAA. Trois tierces personnes y ont également perdu la vie. Deux personnes ont été happées par des véhicules agricoles alors qu'elles circulaient à vélo. Une personne a été écrasée alors qu'elle travaillait à proximité d'un véhicule agricole.

En janvier 2020, la campagne de sensibilisation a été lancée avec l'Union suisse des paysans "T'as pigé ?" qui sera poursuivie en 2021. Une autre priorité en matière de prévention est la formation et la transmission de connaissances spécialisées aux personnes qui effectuent divers travaux en forêt.

Source : Agriss, BUL 

Les défenseurs de la vie privée infligent une amende de plusieurs millions aux commerçants en ligne allemands

Le commerçant en ligne allemand Notebooksbilliger risque de se voir infliger une lourde amende pour non-respect des règles de protection des données. Il est reproché à l'entreprise d'avoir surveillé ses employés par vidéo pendant au moins deux ans.

Protection des données
© depositphotos, perig76

Un Rapport du Handelsblatt selon laquelle le distributeur en ligne allemand Notebooksbilliger devrait payer un total de 10,4 millions d'euros pour la vidéosurveillance de ses employés. Il s'agirait à ce jour de l'amende la plus élevée infligée depuis lors en Basse-Saxe pour non-respect de la protection des données. Il est reproché au commerçant en ligne allemand d'avoir surveillé ses employés en permanence par vidéo pendant deux ans.

Ce que conteste l'entreprise commerciale. Selon Notebooksbilliger, le but du suivi vidéo était de suivre le flux de marchandises lors du stockage et de la vente. Les enregistrements auraient également déjà fourni des indices de vol. La commissaire à la protection des données critique toutefois le fait qu'en plus du simple contrôle des vols, il aurait été possible de procéder à des contrôles aléatoires des sacs.

Nous avons affaire à un "cas grave de vidéosurveillance", poursuit la responsable de la protection des données de Basse-Saxe. Même les clients ont été touchés, car certaines caméras étaient également dirigées vers les sièges de l'espace de vente.

Pour Oliver Hellmold, le patron de Notebooksbilliger, l'amende de 10,4 millions d'euros est totalement disproportionnée. Elle est disproportionnée par rapport à la puissance financière et à la gravité de la prétendue infraction. On veut quasiment faire un "exemple" aux dépens de l'entreprise afin d'établir un exemple aussi dissuasif que possible en matière de protection des données.

L'autorité de protection des données ne se montre toutefois guère compréhensive : "Les entreprises devraient comprendre qu'avec une surveillance vidéo aussi intensive, elles violent massivement les droits de leurs collaborateurs", déclare Barbara Thiel, la responsable de la protection des données, citée par le journal.

L'amende la plus élevée à ce jour pour violation de la protection des données a été infligée à H&M en octobre de l'année dernière. Le détaillant de mode a dû débourser la coquette somme de 35,3 millions d'euros pour infraction au RGPD, car les données de ses collaborateurs avaient été enregistrées. L'entreprise n'a pas fait appel et a payé la somme.

Source : Handelsblatt

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